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s'engage en contrepartie à publier les réponses à
ces courriers et/ou les rectificatifs.
10/01/02
Le coin de l'humour
Guelleh
: "Allo, Hassan Saïd ? Dis-donc, j'ai l'impression
que nous allons avoir la visite d'un nouveau petit juge "fouineur".
Qu'est ce que tu me conseilles cette fois ?"
Hassan
Saïd : "Je n'en sais rien ! Mais tu devrais demander
conseil au juge Le Loire. Il a toujours de bonnes idées
! "
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10/01/02
Pauvre Djiboutien (poème de Mohamed Qayad)
Pauvre
Djiboutien désespérant
Mal famé
Mal paumé
Depuis la fameuse nuit de faim infantile
Inhibiteur de la générosité souffrant
De ta mère édentée
Vilain djiboutien vinaigre
Pour une sauce économiquement caustique
Mal loti
Mal foutu
Depuis que la pomme d'Api perdit
Son képi sous le soleil diabolique
Vilain djiboutien, pauvre Djiboutien qui se dit
Ah! quelle galère!
Ah! quelle misère!
D'être djiboutien sous le soleil d'Api
Le jour de liesse viendra et tu crieras
Oh! quel bonheur!
Oh! quel honneur!
D'être Djiboutien sous le soleil d'Adam
De dormir du sommeil du juste
Vilain djiboutien désespérant
Prend les armes du combattant
Et adieu les larmes d'enfant.
Très amicalement
Mohamed
Qayad
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09/01/02 M
Ali Dahan nous écrit au sujet de la copie de la lettre
de Monsieur Chehem Daoud du 16 décembre 1999 dans le
cadre de l'affaire Borrel.
Québec,
le 9 janvier 2002
M. Jean-Loup Schaal,
Président de l'Association pour le
Respect des Droits de l'Homme à Djibouti (ARDHD)
84, rue Saint-Louis en l'ile- 75004 - PARIS
E-Mail : jlschaal@ardhd.org
A QUI
DE DROIT
Monsieur le Président,
Aujourd'hui, le 9 janvier 2002, j'ai lu avec étonnement
votre note qui accompagnait la lettre que M. Chehem Daoud
Chehem avait adressée le 16 décembre 1999 au
Chef de Cabinet adjoint du Ministre de l'Intérieur
Belge dans laquelle le FRUD reconnaît la véracité
du témoignage de M. Aloumeikani sur l'implication de
M. Ismael Omar Guelleh, président auto-proclamé
de la République de Djibouti dans l'assassinat du Juge
francais Borrel.
Vous écrivez
: " On peut se demander si M. Ahmed Dini ne disposait
d'informations confidentielles qu'il n'aurait jamais communiquées
a la justice francaise ? Aurait-il pu monnayer son silence
en échange de la tranquillité et de la plus
haute décoration de la République de Djibouti
?
Ces questions
auxquelles nous sommes bien incapables de répondre
pourraient-elles quand même etre posées par le
juge Parlos lorsqu'il se rendra a Djibouti..."
Malgré mon étonnement, je comprends parfaitement
votre position. Cependant, JE JURE COMME SI J'ÉTAIS
SOUS SERMENT QUE :
1- M. AHMED DINI M'A AVOUÉ LE 20 MARS 2000 ALORS QUE
J'ÉTAIS A PARIS QUE C'EST BIEN LUI QUI A ORDONNÉ
A M. CHEHEM DAOUD CHEHEM D'ÉCRIRE LA LETTRE DU 16 DÉCEMBRE
1999 AU CHEF DE CABINET ADJOINT DU MINISTRE DE L'INTÉTIEUR
BELGE PARCE QU'IL ÉTAIT TOTALEMENT CONVAINCU DE L'IMPLICATION
DE M. ISMAEL OMAR GUELLEH DANS L'ASSASSINAT DU JUGE FRANÇAIS
BORREL EN
RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI.
Et que
s'il a signé le 7 février 2000 un accord de
paix avec M. Guelleh c'est parce qu'il n'avait pas d'autre
choix... Lors de mon séjour a Djibouti en avril 2000
alors que je faisais partie de la délégation
du FRUD, j'ai appris que la raison véritable pour laquelle
Dini a signé ce dit accord était pour sauver
ses immeubles que Guelleh tentait de lui mettre aux encheres.
2- A la
même époque M. Ismael Ibrahim Houmed, ministre
de la justice de Djibouti et ex-représentant du FRUD
en Europe a lui aussi reconnu a sa facon l'implication de
Guelleh dans l'assassinat du Juge Borrel en déclarant
ce qui suit: "M. Ahmed Dini n'a aucun principe parce
qu'il utilise l'affaire Borrel contre M. Guelleh en échange
de quelques privileges d'ordre matériel. Moi je connais
beaucoup de choses sur l'implication de Guelleh sur le dit
assassinat de Borrel mais je n'aurais jamais utilisé
cela contre lui pour obtenir des récompenses...".
C'est
pour toutes les raisons citées plus haut que je vous
permets d'utiliser ma lettre comme bon vous semble :
l'envoyer
A QUI DE DROIT, de la publier sur votre site ou sur n'importe
quel journal.
Sincerement,
Ali Dahan, Ph.D. _____________________________
C.P. 37073 Place Québec,
Québec (Québec) G1R 5P5 - CANADA
Tél. et fax : 1-418-658-9244
Portable : 1-418-262-5924
Courriel : a.dahan@oricom.ca
alternatif : dahana_ca@yahoo.fr
____________________
________________
09/01/02
- Le dénommé Seif serait aussi accusé
d'avoir falsifié son état-civil et d'avoir essayé
de suivre des cours de pilotage aux USA
Il lui
serait aussi reproché d'avoir fait valoir de fausses
allégations dans le but d'en obtenir des faveurs dans
le domaine social et financier. Appartient-il à cette
catégorie d'émigré qui utilise des documents
préparés par les services djiboutiens pour tenter
d'obtenir des droits d'asile injustifiés et tous les
privilèges assortis : salaire minimum, sécurité
sociale, etc..
Man lied
to INS, indictment alleges
January 8, 2002
By JEFF COLLINS The Orange County Register
A federal
grand jury indicted an Arizona man Monday on two counts of
lying about his identity and nationality to the Immigration
and Naturalization Service in Garden Grove.
The indictment
accuses Malek Mohamed Seif of applying for political asylum
in Garden Grove on Dec. 8, 1998, using the alias Malek Mohamed
Abdallah, stating that he was a Somalian forced to flee his
homeland and live in Kenyan refugee camps since 1991.
He also
asserted that he feared he'd be killed if he returned to Somalia,
the indictment says. The claims were false, the indictment
says.
The indictment
says Seif is, in fact, a native of Djibouti who held valid
passports from France and Yemen and who had legally entered
the United States to attend pilot training school in 1992.
-- Jeff Collins
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09/01/02
Guelleh place le Commandant IFTIN à la retraite anticipée
: il s'agit d'une sanction, car il n'a pas atteint la limite
d'âge. IFTIN va-t-il rejoindre sa femme à Bruxelles
et demander l'asile en Europe ?
On se
souviendra que le Commandant IFTIN, qui était à
Bruxelles, avait rejoint Djibouti de toute urgence vers le
31 juillet 2001, à la suite des informations diffusées
sur le site :
Extrait
du N° B105 du 25/07/01
"Le
capitaine Ali Abdilahi IFTIN a déjà été
cité à de nombreuses reprises sur notre site
:
- d'abord pour sa cruauté, pour les actes de torture
dont son père ou lui-même auraient pu se rendre
responsable en particulier à Ambouli, pour des participations
éventuelles à des exécutions sommaires,
etc..
- ensuite parce qu'il s'était présenté
de lui-même au juge Le Loire pour faire une déposition
en faveur de Guelleh dans l'affaire Borrel, tel que cela avait
été relaté par Le Figaro. Voir aussi
notre article. A la suite de sa déposition, il a été
promu Commandant.
Il
est le cousin de Guelleh et il a été chef d'escadron
de la garde présidentielle, poste de haute confiance,
s'il en est !
Ce
qui nous avait surpris alors, c'est que son épouse
(qui est la soeur de Moussa Tourtour) demandait parallèlement
l'asile politique en Belgique. Il y avait déjà
une première contradiction surprenante.
Nous
apprenons aujourd'hui que ce même Commandant IFTIN aurait
demandé lui aussi l'asile politique en Belgique et
qu'il aurait exprimé dans son dossier déposé
devant les autorités en charge de l'immigration, des
réserves sérieuses contre Guelleh. Il aurait
même été jusqu'à affirmer pour
crédibiliser sa demande d'asile politique que Guelleh
est un assassin, un dictateur et un criminel. "
On peut
imaginer qu'il a été sanctionné par Guelleh.
En effet, la question s'était posée à
son retour de savoir s'il avait pu faire une déposition
devant la justice à Bruxelles avant de s'envoler pour
Djibouti sur ordre de Guelleh. Nous avions même craint
pour sa liberté. IOG est homme qui savoure la vengeance,
surtout lorsque le plat est refroidi. C'est fait !
IFTIN
viendra-t-il à Bruxelles pour solliciter l'asile politique
? Confirmera-t-il ou infirmera-t-il alors le témoignage
qu'il avait fait en faveur de Guelleh dans l'affaire Borrel
? Que dira-t-il pour justifier sa demande d'asile ? que Guelleh
est un être abject ! Il devra ne pas oublier qu'il a,
lui aussi, participé à des violations des Droits
de l'Homme et à des crimes commis à Djibouti.
Alors tentera-t-il sa chance au Canada ?
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09/01/02
Radio-Trottoir :
moussa Idriss, en plus de sa réintégration comme
député, serait sur le point d'obtenir l'annulation
de la dette de 40 millions de FD à la charge de son
fils.
Le fils
de moussa Idriss aurait commis des indélicatesses graves
dans la fonction publique qui l'employait. Ces détournements
l'ont envoyé en prison et il en serait ressorti avec
une dette de 40 millions de FD, qu'il est incapable de payer.
Dans la
démarche de son père, que l'on peut qualifier
de ralliement à IOG, l'ancien candidat aurait obtenu
l'annulation de la dette.
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09/01/02
Selon la copie d'une correspondance du 16 décembre
1999 signée par Monsieur Chehem Daoud, le FRUD aurait
bien pris position officiellement en faveur d'Aloumekani.
Nous avons
reçu la copie d'une correspondance datée du
16 décembre 1999. Elle est écrite et signée
par Monsieur Chehem Daoud, es qualité de Vice-Président
du FRUD et elle est adressée au Ministère belge
de l'Intérieur. Monsieur Dini ne pouvait pas l'ignorer
à l'époque.
Beaucoup
avait pensé que l'affaire Borrel, qui avait été
relancée par les déclarations de Monsieur Alhoumekani,
avait servi fort à propos Monsieur Dini en provoquant
indirectement des négociations avec le gouvernement.
Lesquelles négociations avaient abouti le 7 février
2000 à la signature d'un accord cadre pour la Paix.
D'ici
à penser que Monsieur DINI s'en était volontairement
servi comme un 'bras de levier' pour affaiblir Guelleh, il
y avait un pas. Cette lettre permet-elle de le franchir ?
En dehors
de l'aspect humanitaire en faveur de Monsieur Alhoumekani
que chacun soulignera et qui honore le FRUD, on peut s'étonner
qu'à cette date le FRUD ait choisi justement d'intervenir
pour solliciter la protection de Monsieur Alhoumekani (non-membre
du FRUD) détenteur, d'après ses dirigeants,
d'informations capitales sur la disparition du juge Borrel.
Le FRUD affirmait alors que Monsieur Alhoumekani était
crédible ..
On remarquera
que le FRUD considérait sans ambiguïté
que la thèse du suicide était incohérente
et surtout qu'il se méfiait des relations étroites
entre les autorités françaises et les autorités
djiboutiennes, au point que le secret d'une déposition
ne puisse même pas être assuré en France
....
On notera
aussi que dès que les accords ont été
signés, le FRUD ne s'est plus jamais préoccupé
du sort de Monsieur Alhoumekani, ni de l'affaire Borrel, dans
le cadre de laquelle, il n'est plus intervenu à notre
connaissance.
Comme
cette lettre fait état de doute vis à vis de
la version officielle du suicide, on peut se demander si Monsieur
Dini ne disposait pas d'informations confidentielles qu'il
n'aurait jamais communiquées à la justice française
? Aurait-il pu monnayer son silence en échange de la
tranquillité et de la plus haute décoration
de la République de Djibouti ? Dini aurait-il négocié
en toute connaissance de cause avec une personne qu'il suspectait
déjà d'être un possible criminel et qui
pourrait-être impliqué dans l'assassinat d'un
juge français ?
Ces questions
auxquelles nous sommes bien incapables de répondre
pourraient-elles quand même être posées
à Monsieur Dini, par le juge Parlos, dont le voyage
plusieurs fois annoncé, a été retardé,
mais qui finira bien par se rendre à Djibouti, au grand
déplaisir d'IOG, pour lequel ce voyage représente
une menace évidente ?
"J'ai
l'honneur de vous écrire en ma qualité de Vice-président
du Front Uni pour la Restauration de l'Unité et de
la Démocratie, parti d'opposition au régime
politique du Président Isamël Omar GUELLEH.
Je suis
en exil à l'étranger et ce depuis plus de 20
ans. Je réside actuellement en France.
Vous avez
demandé au conseil de Monsieur Alhoumekani que j'explicite
les raisons pour lesquelles ce Monsieur pourrait avoir de
sérieuses craintes quant à sa sécurité
et à celle de sa famille, s'il devait introduire une
demande d'asile en France.
Monsieur
Alhoumekani détient, en effet, des informations de
la plus haute importance relatives au décès
du magistrat français, le juge Borrel, chargé
d'une enquête sur le territoire djiboutien dans le cadre
d'un attentat.
Si sa
demande devait être traitée par les autorités
françaises, la confidentialité des renseignements
fournis ainsi que l'identité de Monsieur Alhoumekani
Mohamed Saleh risquerait d'être portés à
la connaissance tant des magistrats français que des
autorités djiboutiennes qui travaillent en étroite
collaboration avec eux.
Enfin,
compte-tenu du caractère 'secret défense' de
l'instruction menée au sujet du décès
du juge Borrel, Monsieur Alhoumekani ne peut prétendre
sur le sol français, à une protection efficace,
spécialement par rapport à des actes intentionnels
de violence dont il serait victime. Il suffit, pour s'en convaincre,
de constater les carences et obstructions dans le cadre du
dossier Borrel et l'incohérence de la version
officielle du suicide.
C'est
la raison pour laquelle, hormis les considérations
familiales, il s'impose que la demande d'asile de Monsieur
Alhoumekani soit traitée en Belgique.
D'avance,
je vous remercie et je vous prie de croire, Monsieur le chef
de Cabinet adjoint à l'assurance de ma plus haute considération.
Chehem
Daoud Chehem"
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09/01/02
Un certain Malek Seif, natif de Djibouti, poursuivi par la
justice américaine pour fausses déclarations.
Il est aussi suspecté d'avoir entretenu des relations
avec les terroristes. (AP)
Seif,
qui avait fait l'objet de l'attention des autorités
américaines l'année dernière réapparaît
avec, cette fois, une mise en examen pour fausse déclaration
aux autorités sur son identité. Une nouvelle
catégorie de réfugié fait -elle son apparition
?
By
SCOTT THOMSEN Associated Press Writer
PHOENIX
(AP) - Federal officials released a new indictment Monday
accusing a man taken into custody in the government's terror
probe of using a false identity in his successful 1998 request
for asylum.
A federal
grand jury in California indicted Malek Seif last week on
two counts of making false statements to federal officials.
A federal grand jury in Arizona has charged Seif with 41 counts
of making false statements, Social Security fraud and mail
fraud.
He is
not charged in the Sept. 11 attacks.
The new
indictment said that in his asylum application and during
an interview, Seif falsely claimed to be Malek Mohammed Abdallah,
a Somali who fled to a refugee camp in Kenya to avoid persecution
and was then smuggled into the United States.
Seif, a native of Djibouti, was arrested in October after
returning to Arizona from his new home in France to answer
FBI questions about the terrorist attacks. Authorities say
he knew Hani Hanjour, who is suspected of leading the terrorists
who crashed a hijacked plane into the Pentagon.
Seif's
attorney, Thomas M. Hoidal, has asked Judge Paul G. Rosenblatt
to suppress evidence gathered during the FBI's seven-hour
interview with his client.
Hoidal
said Seif was never read his Miranda rights or advised of
his right to contact the French Consulate, which issued his
passport. He said any statements Seif made were involuntary
because investigators gave him only one break despite complaints
that he was jet-lagged and tired.
Hoidal
did not return a call for comment on Monday.
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09/01/02
Radio-Trottoir : la rencontre entre Me Montebourg et l'Ambassadeur
de Djibouti à Paris aurait fortement déplu à
IOG
IOG en veut de plus en plus à Me Montebourg
On dit
qu'IOG est fort mécontent de ce qui se serait dit entre
le député français (considéré
comme un ennemi par le régime tyrannique) et l'Ambassadeur
de Djibouti en poste à Paris, lors d'un entretien officiel
qui a eu lieu en fin d'année dans les locaux de l'Assemblée
nationale à Paris.
IOG aurait
grondé l'Ambassadeur et considérerait que Me
Montebourg est vraiment son ennemi. Il est vrai que Me Montebourg
a fait plusieurs propositions à l'Assemblée
nationale pour diminuer fortement les aides et le soutien
financier abusif de la France au régime du dictateur.
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08/01/02
IOG décide la fermeture de la frontière entre
Djibouti et Somalie du Nord (Somaliland) pour défendre
de sordides intérêts personnels dans un trafic
de cigarettes de contrebande.
IGO
a encore fermé la frontière sans consulter quiconque.
(Lecteur)
Raison
évoquée : le gouvernement de "Somaliland"
n'a pas payé l'argent
des "cigarettes" de contrebande qui ont transité
par Berbara (et dans le commerce des quelles est impliqué
l'ami 'financier' et associé de Guelleh : Boreh )
Cette
décision, à la fois grave et dangereuse, aura
des répercutions négative sur les plans économique,
sociale et sur les relations avec nos frères et nos
soeurs somaliens (ennes).
J'ai une
question / suggestion pour notre soit-disant "Président"
IOG : pourquoi ne par fermer la frontière entre l'Éthiopie
et Djibouti, puisque
les éthiopiens n'ont pas payé les frais de transit
du port autonome de Djibouti depuis plusieurs années
???
S'il te
plaît, mon Président, mon père est malade
et il doit aller d'urgence à Borama pour se soigner.
Il ne peut pas prendre l'avion, alors ré-ouvre la frontière
!
Bonne
et heureuse année et mes meilleurs voeux à
toi et votre famille monsieur le Président
Vive Djibouti
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06/01/02
Quels sont les exilés que visaient IOG dans son discours
de fin d'année ? (Lecteur)
Il
y a effectivement trois catégories d'émigrés
:
1 - ceux
qui l'ont fait par choix personnel,
2 - ceux qui ont été contraintsde le faire,
soit pour fuir un régime qui les a torturé /
emprisonné, soit parce qu'ils ne pouvaient pas exercer
leur métier ni gagner leur vie à Djibouti,
3 - la famille et les proches du clan Guelleh ou de ses ministres,
qui jouent par exemple à Ottawa ou à Bruxelles
les demandeurs d'asile et qui prétendent à l'obtention
d'un titre de séjour non justifié ; ils affirment
avoir été victimes de la répression ....
et ils apportent des preuves qui ont parfois été
élaborées directement en coordination avec les
autorités gouvernementales djiboutiennes.
Nous savons
que les autorités belges ou canadiennes sont très
vigilantes sur ce point et par exemple que des personnalités
ayant quitté des fonctions officielles dans des conditions
doûteuses éprouvent beaucoup de difficultés
pour obtenir un droit d'asile lorsqu'il n'est pas justifié.
(Ex : un ancien ambassadeur de Djibouti à Paris qui
serait parti avec la caisse - c'est vrai qu'il est poursuivi
pour ces faits par le régime djiboutien pour ces faits
(la trésorière, ancien fonctionnaire à
l'Ambassade, a déjà été condamnée
dans cette affaire de détournement de fonds publics)
; est-ce que le Canada devrait lui donner le droit d'asile
simplement pour le soustraire à une action pénale
qui pourrait bien être justifiée dans son pays
...)
Notre
lecteur, dont nous reproduisons ci-dessous la contribution,
se pose la question légitime de savoir quelles étaient
les catégories d'émigrés qu'IOG dénonçaient
dans son discours de fin d'année : catégorie
1, 2 ou 3 ?
Propos
dun exilé malgré lui (Lecteur).
Le Président d'un Etat Républicain est celui
que par voix d'élection la majorité de la population
a élevé à ce grade, le plus haut dans
la hiérarchie étatique.
Ce Monsieur
est supposé être à la hauteur de l'honneur
qui lui a été fait; être digne du respect
qu'on lui accorde, avoir l'intelligence que sa fonction
exige, en un mot la carrure (mentale et morale) d'un chef
de la Nation.
Cela veut
dire aussi peser ses mots, lorsque le Président se
prête à l'interview de fin d'année.
Quand
IOG dit ne pas comprendre la fuite de cerveaux, quand il affirme
que les exilés malgré eux vivent de fonds partant
du pays, quel language tient-il ?
Malgré
ma rage, mon éducation m'interdit de le qualifier,
mes propos risquant d'être virulents. Je
préfère continuer à me poser des questions.
Peut-être
ce Monsieur parlait-il des faux exilés - réfugiés
d'une certaine classe sociale ou tribale vivant au Canada,
aux USA ou en Europe et qui effectivement bénéficient
de transferts de fonds provenant de candidats au titre de
"brosses à reluire"; ou peut-être les
confond-t-il avec ces jeunes de familles aisées à
la botte de sa Majesté; ou alors sont-ils tout simplement
ceux de son clan tribal qui préparent la fuite en avant
en cas de...
Les vrais
exilés malgré eux existent. Aucun être
humain contraint et forcé de quitter sa terre bien-aimée,
ne prend l'avion sans un gros pincement de coeur, sans larme
à loeil.
Des centaines
d'enseignants ont fui, pourtant jusqu'à une époque
récente, le métier d'enseignant était
reconnu à Djibouti.
De hauts
fonctionnaires sont à l'extérieur car, pour
raison tribale ou politique, on les a rejetés. L'emprisonnement
arbitraire, la corruption, le viol du droit à la justice,
à l'éducation, à la libre expression
ont provoqué l'exode de familles entières.
Ces vrais
exilés vivent des allocations sociales que leur accordent
les pays hôtes et du salaire dun travail à
temps partiel pour beaucoup dentre nous.
Dieu
merci et merci à ceux qui nous accueillent.
Si dans
ses propos le Président était sincère,
c'est qu'il est très mal entouré, très
mal renseigné et c'est à lui qu'il appartient
d'en tirer les conclusions.
Si ce
n'était que du cynisme de sa part, alors il ne m'est pas interdit de rêver : peut-être lui aussi
connaitra-t-il un jour le chemin de l'exil comme son ami et
frère Menguistu Haile Mariam. Qui sait?
Après
cette mise au point et sans rancune aucune envers le Président,
je voudrais dire que les Djiboutiens de l'extérieur
ont tout dit, ils ont tout dénoncé : la dictature,
le clientèlisme, la torture, la corruption, le viol
mental...
Ils se
sont faits les porte-parole des sans-voix, tout cela pour
se faire entendre par la communauté internationale,
espérant que celle-ci saisirait le message de tous
ces exilés au nom des leurs.
L'inverse
semble s'être produit. Au nom de je ne sais quels intérêts
ils semblent soutenir une dictature, ils semblent indifférents
à la misère d'un peuple.
La
vie est une roue qui tourne.
Un jour
ou l'autre, proche ou lointain, les djiboutiens de par eux-mêmes,
de par leur force, de par leur courage, sortiront de la misère.
Les
exilés malgré eux reviendront avec tous leurs
acquis intellectuels, avec toutes les valeurs qu'ils ont
appréciées dans les pays d'accueil. Ils sauront
faire la part des choses. Ils sauront qui remercier.
Ils reviendront
sans un merci pour ceux qui ont soutenu la dictature, tous
ceux qui n'ont pas su leur tendre la main.
Que
cette année 2002 soit l'année du bonheur, de
la paix, de la prospérité à Djibouti
et à travers le monde.
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05/01/02
A lire cette semaine dans LOI
LA LETTRE
DE L'OCEAN INDIEN - 05/12/2002 ETHIOPIE - Du galon pour les chargés
d'affaires
Plusieurs d'entre eux ont été promus au rang
d'ambassadeur, mais Fisseha Adugna (LOI n°931) est le
seul à rester en poste dans l'ambassade où il
officiait déjà. (...). [Total : 209 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 05/12/2002 INVESTMENT BANK OF AFRICA - Un banquier
confirmé à Djibouti
Lors d'une réunion, fin 2001, le conseil d'administration
de l'Investment Bank of Africa Ltd (IBA) a confirmé
l'homme d'affaires originaire du Kirghizistan (une république
de l'ex-URSS), Ilia Karas, comme PDG de cette banque. (...).
[Total : 99 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 05/12/2002 DJIBOUTI - Le président Guelleh
joue en douceur Après la mise en oeuvre de l'accord de paix
signé avec le Front pour la restauration de l'unité
et de la démocratie (Frud, ex-rébellion Afar),
l'annulation de la radiation de l'avocat Aref Mohamed Aref
du barreau de Djibouti et le vote d'une loi d'amnistie en
septembre 2001 (LOI n°962), le parlement djiboutien vient
de réintégrer en son sein un député
déchu de son mandat parlementaire il y a deux ans.
(...). [Total : 339 Mots].
____________________
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05/01/02
GUELLEH révoque de nouveau ! Deux cas, dont celui d'un
fonctionnaire qui avait eu le courage de manifester à
Bruxelles le 14 mai 2001.
Monsieur
Mahamoud Idriss Ahmed (*), ancien fonctionnaire des Affaires
Étrangères, vient de nous informer, preuves
à l'appui, qu'il avait été révoqué
de façon scandaleuse par Guelleh le 23 juillet 2001
au motif qu'il avait manifesté à Bruxelles le
14 mai 2001 ...
Encore
un scandale à mettre au crédit du Président-Dictateur
qui confond de plus en plus l'État, les règles
de droit et ses affaires / rancunes personnelles. La tyrannie
veut tuer toute velléité d'expression à
Djibouti. Ce cas confirme (une nouvelle fois malheureusement)
l'état de terreur qu'il impose aux citoyens djiboutiens,
qui n'ont même plus le droit à un minimum d'expression.
(*) Une
erreur de nom s'était glissée et nous l'avons
corrigée.
ARDHD
: on ne peut que s'interroger sur le crédit que les
nations occidentales et en particulier la France accorde encore
et toujours à ce régime et à son Président.
Il est évident et prouvé que ce régime
transgresse toutes les règles internationales, qu'il
viole les Droits de l'Homme, qu'il ruine le pays et qu'il
asservit un peuple entier.
Comment
peut-on encore accorder des aides et des subventions pour
soutenir ce tyran sanguinaire et abject ?
Il
est grand temps que la communauté internationale prenne
acte de la situation et décide de ne plus accorder
aucun soutien (souvent abusif) à Guelleh pour qu'il
puisse se maintenir (difficilement) au pouvoir. Les Djiboutiens
ont le droit imprescriptible de vivre en démocratie
et en liberté. Qu'ont-ils fait de mal, pour que la
communauté internationale les condamne depuis 20 ans
à être des citoyens de troisième ou de
quatrième catégorie ?
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01/01/02
Un quizz pour tous à l'occasion de la nouvelle année
(par Roger Picon)
On
peut jouer seul, en famille ou avec des amis.
Les bonnes réponses seront données dans un prochain
numéro avec l'analyse statisitique des réponses
reçues.
On peut répondre sous son nom ou de façon anonyme.
Le ou les gagnants recevront une récompense spéciale
de l'ARDHD.
Comment
jouer ?
Etape
A - Notez d'abord sur un papier vos réponses
aux cinq questions que nous vous proposons.
Question
N°1 - Donnez le numéro de l'image qui est différente
des autres :
->
A,
-> B,
-> C,
- >D, Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________ Question N°2 - A votre avis,
est-il possible de déplacer le carré D
vers l'un des autres carrés A, B ou C ?
->
OUI
-> NON Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________ Question N°3 - A quelle échéance
?
->
cette année,
-> l'année prochaine,
-> avant cinq ans
-> plus de cinq ans Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________ Question N° 4 - Quelles forces
faudrait-il utiliser pour que D rejoigne un autre carré
?
->
le courage civique,
-> l'obstination,
-> le dépôt de plaintes devant les juridictions
occidentales (Belgique, France, Canada, ...)
-> le soutien des diplomaties occidentales Plusieurs réponses sont possibles !
_________________________________________________________________________ Question
N° 5 (Subsidiaire pour départager les gagnants)
A votre avis combien recevrons-nous de réponses ?
Etape
B - Cliquez
ici
et donnez vos réponses aux cinq questions dans le message.
(Exemple ci-dessous)
Exemple
de réponse (Attention : les réponses proposées
dans cet exemple ont été choisies au hasard
; elles ne sont pas obligatoirement les bonnes ..) :
1)
A
2) OUI
3) L'année prochaine
4) Obstination et courage civique
5) 1.232
____________________
________________
L'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.
Dans
cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale,
celle ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures,
exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols,
assassinats, destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction
d'écoles ou de centres de soins, etc..
Auront-ils
à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?
Rappel
des personnages
déjà "élus" :
LA
LIBERTÉ N° 17 -
Mme LEILA, juge
d'instruction LA
LIBERTÉ N° 19 -
Omar FARAH, gendarmerie
d'Ali Sabieh LA
LIBERTÉ N° 29 -
Le général Yacin YABEH, LA
LIBERTÉ N° 32 -
Le directeur de la Prison de Gabode, LA
LIBERTÉ N° 33
-
Ali Mohamed ABDOU, procureur général LA
LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF Ministre
déléguée conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti. LA
LIBERTÉ N° 36 -
M Ibrahim Idriss DJIBRIL, Ministre
de la Justice, conjointement avec
M Mohamed Ali ABDOU, procureur
général de Djibouti (2ème nomination) BULLETIN
N° 4 -
Lieutenant GUELLEH de la FNP BULLETIN
N° 7-
Le responsable des forces de police qui
a donné l'ordre le 24 juin de tirer à balles réelles
sur Daher Guedi FOUREH. BULLETIN
N° 16 -
M Yacin Elmi BOUH, Ministre de l'Économie
et des Finances. LA
LIBERTÉ bulletin N° 23
-
M. Yacin Elmi BOUH, Ministre de l'Économie
et des Finances (2ème nomination) LA
LIBERTÉ bulletin N° 28
-
Monsieur Abdallah Abdillahi Miguil, Ministre
de l'Intérieur LA
LIBERTÉ bulletin N° 29-
Monsieur MOGUEH, Ministre délégué
aux affairesmusulmanes LA
LIBERTÉ - bulletin N° 32 -
Madame Nima Ali Warsama, Juge d'instruction LA
LIBERTÉ - bulletin N° 36
Monsieur Ali Mohamed Daoud - Ministre de l'Agriculture
et du développement rural. LA
LIBERTÉ - bulletin N° 37 Le
Lieutenant-colonel Abdourahman Ali Kahin,
Chef du groupement de police du district de Djibouti.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 40 Le procureur IBRAHIM, LA
LIBERTÉ - bulletin N° 42 M.
Idriss Arnaoud Ali, Directeur
de Publication du Journal le Progrès, Président de
la Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire
Général Adjoint du Parti RPP. LA
LIBERTÉ - bulletin N° 43 le Président Saïd Mahamoud Abkar, Cour
criminelle de Djibouti. LA
LIBERTÉ - bulletin N° 48 Hassan
dit "Modaubé" OBSERVATOIRE
N° B106 DJAMA SOULEIMAN, procureur
auprès du Tribunal de Première instance de Djibouti
Directeur adjoint de la Police
politique.
Les
principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.
En
attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes
des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols,
de torture et d'emprisonnement arbitraire (.. . ), nous rappelons,
chaque semaine, à l'opinion publique internationale les
noms des tortionnaires qui ont été le plus souvent
cités par les victimes, et ce jusqu'à ce qu'ils
soient inculpés.
Certains
se seraient déjà réfugiés à
l'étranger (USA et Canada) sous de fausses identités,
mais ils sont placés sous surveillance, par les polices
locales.
L'Ordre
des
Brosses à Reluire
réunit les meilleurs chantres du régime dictatorial
Bulletin
n° 44 Mahdi Ahmed Abdilahi
au grade de Cireur de Pompes - Premier échelon Bulletin
n° 45 Monsieur
Ali Abdi, Ministre
des Affaires Etrangères au grade d'hyène fonceuse
- Premier échelon Monsieur
Johar, Ministre
du commerce au grade d'hyène repue - Premier échelon Bulletin
n° B122 Mohamed
Ali Mohamed (dit DIG DIG), auteurde l'article "Pour
un peu plus de patriotisme"
(paru dans le journal La Nation N°91 du 12/11/01) au grade
de Léche-bottes avec mention spéciale. Bulletin
n° B127 L'ensemble
des journalistes de La Nation pour
un article paru début janvier 2002 et intitulé "Pour
la liberté de la Presse", collectivement au grade
faux-culs avec la barrette spéciale de dénonciateurs.